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L'IA et le manager, qui détient le pouvoir ?

L'IA est bien pratique pour faciliter les tâches un peu fastidieuses du manager, avec certaines limites toutefois. Il ne faut surtout pas foncer ni dans l'euphorie actuelle, où l'on s'imagine que l'IA va tout résoudre, ni dan la dystopie, qui prévoit un apocalypse pour l'emploi. Il faut surtout apprendre à mettre à son service l'Intelligence Artificielle, puisque ce sera toujours des humains qui effectueront les tâches importantes et prendront les décisions...
L'IA doit impérativement rester au service du manager, son rôle ne change qu'à la marge. Quelle qu'elle soit, la technologie doit toujours être au service de l'humain et non l'inverse. Méfions-nous des technomaniaques qui, totalement acculturés par les GAFAM, se jugent en droit de tout rationaliser sans rien comprendre au monde et à l'humanité. Là est le vrai danger.

Alors l'Intelligence artificielle, un bonheur ou un drame pour le manager et les managé ?

Comme toutes nouvelles technologies, « l’intronisation » de l’Intelligence Artificielle auprès du grand public n’a pas manqué d’être abondamment saluée par un cortège de laudateurs qui ont rapidement épuisé tous les superlatifs disponibles dans leurs idiomes respectifs.
  • Les inconditionnels, jugent que l’IA n’est rien de moins que la nouvelle révolution industrielle digne de la domestication de la force motrice que fut l’électricité en remplacement de la vapeur.
  • En revanche les plus sceptiques, et tout aussi mal informés, estiment que l’humain sera rapidement jugé comme superfétatoire dans un monde où les « machines » et autres « bots » détiendront la supériorité intellectuelle qui leur confèrera le pouvoir absolu.
  • Non, non, nous ne sommes pas dans un scénario classique de science-fiction de type « Terminator », mais bien dans la « réalité » telle qu’elle est décrite par une palanquée d’articles tous plus excessifs les uns que les autres... et tous aussi pauvres en argumentations concrètes et sérieuses !
Il est urgent de bien lire entre les lignes et de regarder un peu plus loin sans se laisser influencer outre mesure, que ce soit par le miracle prométhéen ou par la menace de l’apocalypse.

l'humain et la maitrise de la technologie IA
Légende : L'humain doit impérativement conserver la maitrise sur les technologies a fortiori quand il s'agit d'Intelligence artificielle

L'IA ça pourrait être super !

La simplicité d’usage de l’IA générative, pour rédiger une synthèse, élaborer une présentation ou encore composer quelques illustrations originales, le tout en un temps record, ne peut que séduire les salariés du tertiaire pris par la pression du temps.
Être déchargé des tâches chronophages et rébarbatives, qui n’en a pas rêvé ?

Soulager le travail humain par la technologie est effectivement un vieux rêve. Malheureusement, il est totalement utopique et irréaliste.

Les travaux chiants et/ou pénibles, on les laissent aux machines ? Ben non...

Dans une société idéale, on pourrait imaginer que les travaux pénibles, qu’ils soient physiques ou intellectuels soient exécutés par des machines.
  • Mais voilà, nous ne vivons pas dans une société idéale.
  • Si l’on remplace les hommes par des machines, ce n’est pas pour soulager leurs tâches, mais bien pour les éliminer et améliorer ainsi drastiquement la bottom line.
  • C’est évident n’est-ce pas ?
  • Il est quelque part dramatique que nous ayons atteint ce stade de l’idéologie capitaliste où l’on agrée comme une évidence ce culte du profit qui ne fait aucun cas du bien-être humain.
Truc de proVoir notamment l'antédiluvien modèle du CIM (antédiluvien puisqu'il date d'avant le déploiement de l'Internet) pour bien comprendre que l'obsession du patronat de remplacer les postes de travail humain par des robots qui rampent comme il le faut ne date pas d'hier...
Et pourtant, quelles évolutions du confort de travail et de sa drastique réduction tout en assurant des revenus corrects pour tous si l'on utilisait les technologies dans le bon sens ! Il suffirait de laisser le pouvoir aux humanistes en lieu et place des capitalistes qui ne visent que l'accroissement des profits à leur seul avantage ! Bref, vivre avec son temps, en humain, est à portée de mains.

Le coût de l’IA

Présentation simplifiée des quatre phases de l’algorithme de ChatGPT. Source : ChatGPT.Présentation simplifiée des quatre phases de l’algorithme de ChatGPT. Source : ChatGPT. Sur le plan technologique, l’IA représente des coûts totalement pharaoniques.

Lorsque la France propose de budgéter 109 milliards d’euros, cela représente une dépense, ou un investissement (rayez la mention inutile selon votre sentiment à ce sujet), très nettement supérieur au budget du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (26,7 milliards d’euros pour 2025). Les É.-U. parlent eux d’un investissement de 500 milliards de dollars.

Effectivement, comme dans toutes innovations technologiques majeures, au final le gâteau appartient aux premiers arrivés.
En Europe, nous partons avec un certain retard puisque là nous n’évoquons que les investissements futurs et non des investissements déjà réalisés par Alphabet, Microsoft, Meta et consorts jusqu’à aujourd’hui (Mistral aussi, mais dans une moindre mesure puisque sa solution d’IA utilise l’infrastructure Microsoft).

Le schéma de droite : Présentation simplifiée des quatre phases de l’algorithme de ChatGPT. Source : ChatGPT.

Aussi, lorsque vous demandez à ChatGPT,Être déchargé des tâches chronophages et rébarbatives, qui n’en a pas rêvé ?clii ou l'IA de votre choix, de structurer votre présentation pour lundi matin ou de vous conter une blague rigolote pour vous déstresser en attendant, vous mettez en oeuvre une infrastructure qui a coûté quelques dizaines de milliards, rien de moins. (le coût d’utilisation journalier de Chat GPT était déjà estimé en 2023 à 700K $ par jour, source Courrier International).

L’IA n’est pas très claire sur le plan éthique

L’entraînement des IA, étape fondamentale, n’est pas vraiment une phase que l’on pourra ranger dans la catégorie « conforme à l’éthique ». C’est en effet un travail ultra fastidieux et stressant d’éduquer les ordinateurs afin qu’il sache faire la différence entre un chat et un chien, entre un viol et une séduction, entre un crime et un jeu. Voir à ce sujet l’excellent reportage « les sacrifiés de l’IA » sur france.tv

L'entraînement des Intelligences Artificielles, une nouvelle forme de colonialisme ? Lire à ce sujet les travaux de d’Antonio Casilli, spécialiste du sujet de longue date de l'esclavagisme engendré par les nouvelles technologies et les indispensables "petits travaux", dévolus aux "petites mains" des perdants de ce monde ultra capitaliste.

Attention, la compétition pour décrocher de micros-tâches et boucler ses fins de mois risque de se généraliser.
Cramponnez-vous à votre CDI si vous n'avez pas un solide projet d"émancipation, on finira par ne plus vous donner le choix... C'est en tout cas ainsi que je vois les choses à venir...

L’IA n’est pas très claire non plus sur le plan climatique

Selon ses fanatiques les plus exaltés, l’IA trouvera une solution radicale et définitive au changement climatique !
Pour y croire, encore faut-il vouer un véritable culte sans borne au . solutionnisme technologique cher à Evgeny Morozov pour croire au « demain ça sera vachement mieux » comme chantait Jacques Higelin.
Il n’en reste pas moins qu’il est aujourd’hui plus qu’indispensable d’aborder l’impact environnemental d’un tel déploiement technologique.
Que ce soit la question de la consommation d’énergie ou celle de l’eau pour refroidir une telle usine à gaz, elles méritent d’être traitées et résolues sans attendre.
InfoExemple : Pour alimenter ses data-centers et limiter son effroyable bilan carbone, Microsoft s’apprête à faire redémarrer un réacteur de la centrale de Three Miles Island de triste mémoire. Cette centrale a été arrêtée en 1979 après un accident aux conséquences gravissimes de fusion partielle du coeur du réacteur de l’unité 2.
Pensez-y la prochaine fois que vous demanderez à chat GPT, Glok ou Gemini de vous raconter une blague rigolote...
Dans tous les cas, une étude concrète et réaliste sur l'IA et le développement durable s'impose pour mieux orienter son développement et son utilisation, on n'y coupera pas, enfin, j'espère...

Quelle rentabilité pour l'IA ?

Fidéliser pour mieux rentabiliser

Gratuit ou pas trop cher, flatteur, ouvert et communiquant, serviable, aimable, sympathique, pratiquement empathique, si l’IA présente quelques séduisantes caractéristiques de ce type, c’est bien pour que nous y prenions goût afin de nous fidéliser.
Il importe que l’usage de ces outils devienne incontournable.
Il ne faut surtout jamais perdre de vue que les GAFAM ne sont pas des philanthropes. Si ces méga compagnies investissent de tels sommes astronomiques, c’est bien parce qu’elles visent une rentabilité plus que conséquente.
C’est aussi vrai pour tous les investisseurs qui cherchent à l’utiliser pour rentabiliser un point précis de leur activité.
InfoEn avril 2025 Le groupe CMA-CGM a noué un partenariat avec Mistral, notamment pour assister les conseillers clientèle et vérifier les sources des in-formations produites par les médias du groupe (BFM, la Tribune, la Provence…). Rodolphe Saadé, PDG du groupe, vise un Retour sur Investissement sur 6 mois, maximum un an.
Source : Une équipe de "Mistral AI" s'installe chez CMA-CGM (Les échos)

L'automatisation maximale, la recette de la rentabilité

Un système informatique analyse les données plus rapidement, ne prend pas de vacances, travail 24/24, ne fait pas grève et peut fournir des réponses types personnalisées pour les questions récurrentes tout en apprenant au fur et à mesure.
L’apport majeur de l’IA en matière d’automatisation est bien l’autoapprentissage.
  • Les solutions plus anciennes de type systèmes experts notamment, exigeaient un investissement continu des utilisateurs pour affiner et enrichir les règles.
  • La rentabilité des systèmes experts n’était que très rarement au rendez-vous (en tout cas je n'en ai pas connu qui furent rentables dans la durée).
  • D’où leur très faible déploiement.
  • Cela dit, l’infrastructure et l’entraînement d’une IA spécialisée représente des coûts exorbitants.
  • La question de la rentabilité n’est pas non plus très nette.

IA faible et IA forte

Pour le dire rapidement, l’IA dans son principe de base, dites IA faible, comme tout bon algorithme, se fonde sur un modèle de logique formelle cher à Aristote et bien évidemment sur une logique symbolique. Elle s’appuie sur une très vaste base de connaissances enregistrées, donc le passé, et utilise un modèle probabiliste pour répondre à nos questions.
SongeurÀ ce sujet, l’IA est parfaitement inculte et ne fait qu’obéir à des règles établies. C’est ainsi qu’à la demande de représenter des nazis Google Gemini a glissé des hommes de couleur équipés d’un uni-forme nazi en respect de l’exigence de diversité en vigueur. Dans tous les cas, l’IA quelle qu’elle soit, renforce les stéréotypes culturels ainsi que les biais cognitifs occidentaux (voir notamment l’affaire pro-publica-compas, où l’outil destiné à objectiver les décisions pénales aux USA s’est révélé particulièrement raciste. Source : Revue Réseaux (Cairn.info)

Traitement du langage naturel

Il est utile de se pencher sur le principe d’analyse de textes pour bien en comprendre la subtilité algorithmique. Bert, notamment un récent modèle (2018) mis au point par Google Research (sous licence Apache) pour mieux comprendre le sens des phrases en langage naturel mérite toute notre attention. Les modèles de type « transformer » complètent le principe des réseaux de neurones, un modèle bien plus ancien (le perceptron date de 1957). Voir : BERT_(language_model)

Les strates de l'IA
Les strates de l'IA

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InfoCet article est un extrait du chapitre consacré à l'IA et le manager du livre "Perfonomique Saison III"

  • Un ordinateur, reste un ordinateur, avec ses limites opérationnelles
    Il n’en reste pas moins qu’il ne s’agit là que d’ordinateurs dont la fonction est de lire de données, d’exécuter des opérations, d’enregistrer les données et de les déplacer....
  • Les processeurs de type graphiques, GPU, tels ceux produits par Nvidia, permettent grâce à un traitement massivement parallèle de multiplier la performance de traitement. Il est bon de savoir que les modules Nvidia sont plutôt coûteux : 30K$ l’unité. On comprend mieux le bond exceptionnel que cette entreprise a connu en fin 2024 début 2025 sur le Nasdaq (juste avant les annonces tonitruantes de DeepSeek).

Un système informatique n'a pas de conscience quoi qu'en disent les plus illuminés

Un système informatique ce n’est pas un humain. Un ordina-teur n’a pas de conscience. Il n’a pas de sentiment, il n’a pas de vécu, il n’a pas de perspective d’avenir, il n’a pas de notion de la mort (Antonio Damasio), il n’a pas d’intuition, il n’a pas d’appréciation de son environnement.

Il ne sait pas non plus ce qu’est le beau, le laid, le danger, le risque, le confort, le plaisir, la douleur et surtout, il ne construit pas des relations sociales.

Ce qui fait de l’humain ce qu’il est c’est bien sa capacité à construire et à entretenir des relations avec ses semblables. C’est ainsi que se construit l’intelligence, que nait la créativité. C’est bien notre culture sociale qui nous donne la capacité de jugement dans un contexte parfois hostile (on s’informe, on lit, on apprend des autres toute notre vie). Bref, tout cela est bien loin des meilleurs modèles probabilistes.

HumourLire à ce sujet les réflexions totalement lunaires de Blake Lemoine ingénieur chez Google. Persuadé que le système d’IA sur lequel il travaillait était de-venu conscient, quasiment un humain à part entière. Il a rapidement été licencié suite à ses publications totalement hors sol.

Hallucinations et délires hors sol des IA

Une IA ne sait que proposer des réponses probabilistes que l’on qualifie d’hallucinations lorsqu’elles sortent du domaine de l’acceptable, du raisonnable.
À ce sujet, on peut se poser la question de la causalité. L’IA étant une boîte noire, il est impossible de connaître les éléments constitutifs de son raisonnement pas plus que les différentes étapes pour parvenir à la réponse.

Corrélation et causalité ?

On peut alors se demander comment l’IA, quelle qu’elle soit, traite les corréla-ions puisqu’elle n’a nullement conscience de ce qui est vraisemblable et acceptable de ce qui ne l’est pas. Ce n’est pas parce qu’un coefficient de corrélation est proche de « 1 » que l’on peut établir un lien de causalité. Nous, humains, on sait très bien que la consommation de la chicorée en salade n’est pas responsable du nombre de maladies infectieuses même si le coefficient de corrélation est proche de 1 sur plusieurs années.
Lire Correlations de l'absurde
L’IA ne le sait pas et peut conduire à des conclusions totalement erronées, voire dangereuses, selon le sujet traité.

Faut-il avoir peur d’être remplacé ?

Il aussi vrai que les menaces de destruction de l’emploi se concrétisent plus que jamais pour certains métiers.
Le capitalisme ne fait pas de sentiment. « S’il y a du fric à se faire, peu importe le devenir des salariés éjectés ». C’est ainsi.
On a déjà entendu cette ritournelle du temps de l’automatisation, un temps où l’on rêvait de l’usine sans hommes... Même si concrètement l’emploi industriel a plus été détruit par les délocalisations dans des pays à moindre coût que par l’automatisation et la robotique qui représentent tout de même des investissements conséquents.
SongeurLe cynisme de la course au profit : Avant d’être exploitée, une IA doit être entraînée. Ce sont juste-ment celles et ceux qu’elle devra remplacer qui l’entraînent pour lui enseigner le métier.

Le risque actuel, vers un plagiat généralisé

L’appauvrissement de la création est plus qu’un risque, c’est une réalité. Depuis déjà de nombreuses années, le web est de-venu une source de connaissance prioritaire pour une très large majorité d’entre nous. Il y a une dizaine d’années, Gary Illyes, alors porte-parole de l’entreprise Google, estimait que 60 % des pages du web n’étaient que de la copie.
Avec l’essor de l’IA, on peut sans effort imaginer ce que deviendra d’ici peu ce taux bien peu rassurant sur l’originalité des propos et plus généralement sur la créativité. L’IA sait faire de très jolies phrases, mais elle n’invente rien si ce n’est des élucubrations dénommées pudiquement des hallucinations. Bien évidemment puisqu’elle se réfère à sa très large base de connaissances pour trouver la réponse adéquate selon des règles probabilistes.

Aussi, faire une page web aujourd’hui ne prend guère de temps. l’IA sait structurer la page selon les désirs des moteurs de recherche (SEO) et glisser mots et expressions clés là où il se doit. Il est aisé de réaliser un très gros site à moindres coûts et dans un délai record.
Déjà, avant l’IA, les textes plus originaux rédigés par des acteurs compétents n’avaient que peu de chance d’apparaitre dans en tête des SERPs, s’il n’était pas publié sur un site déjà reconnu ou de taille conséquente. Le chercheur sur son blog perso rencontrera de grandes difficultés aujourd’hui pour faire connaître les résultats de ses travaux originaux puisque ses chances de se retrouver dans le tiercé de tête des SERPs sont proches de zéro.

La solution est entre le fauteuil et le clavier

Sans jouer les Philippulus et autres prophètes de malheur annonçant l’imminence de l’apocalypse, l’IA est incontournable, c’est une évidence pour tout un chacun. Il s’agit donc de bien la maîtriser, sans fantasmer, mais bien avec réflexion, afin de conserver le pouvoir. Cependant, une technologie devrait toujours être au service des hommes qui les utilisent et non l’inverse. Bref, il sera de plus en plus nécessaire de composer avec l’IA sans perdre de vue ce qui fait de nous un humain, raisonnable et social...

La solution à la connaissance ? Lire des livres !

Conseil du sageEt surtout un grand lecteur de livres ! Tout ne s’apprend pas sur le web et l’IA n’a pas réponse à tout. Seuls les lecteurs de livres de fond s’en sortiront, puisqu’ils remettent régulièrement leurs connaissances et leurs certitudes en question.
Il ne faut jamais oublier que la connaissance ce n’est pas d’uniquement obtenir des réponses fermées à la question posée « Pourquoi ? ». Cette réponse doit impérativement ouvrir de nouvelles pistes de re-cherche, de nouveaux « Pourquoi ? » qui augmenteront sûrement le doute. Mais douter, n’est-ce pas la meilleure attitude à adopter sur le chemin de la connaissance ?

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L’auteur

Alain FernandezAlain Fernandez est un spécialiste de l’aide à la décision et de la mesure de la performance dans le cadre des démarches d’amélioration continue. Il travaille depuis plusieurs années sur les principes de la coopération comme unique solution pour équilibrer les enjeux économiques, environnementaux et humains. Il est l’auteur de plusieurs livres de management qui anticipent la démarche ici présentée, chacun vendu à plusieurs milliers d’exemplaires.

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